Détails historiques




Concernant les avions, les pertes sont en majorité des avions éliminés, donc ceux qui restent sont valides à 100%. Il y a 1 jet de dés au lieu de 2 quand l'unité est endommagée, donc 2x moins de chances de toucher ....





Bien que prévenus de l'attaque japonaise, les américains savent qu'ils sont en infériorité sur le plan numérique et celui de la qualité des chasseurs. Leur point de rendez-vous fut en conséquence nommé Point Luck (Point Chance).





La défense terrestre de l'atoll de Midway est centrée sur le 6ème bataillon de défense naval (corps des Marines), renforcé par une compagnie de marins et une poignée de chars. Au total, environ 2500 hommes.





Les Japonais amènent une unité spéciale de débarquement de la marine, ainsi qu'une partie du 28ème régiment (appelée le détachement Ichiki, d'après le nom de son chef, le colonel Kiyonao Ichiki, qui se rendra célèbre par la suite à Guadalcanal). Au total, environ 5000 hommes.





Divers navires de service (non représentés ici) sont présents à proximité de ces atolls.





Johnston Island se trouve au sud de la carte. Des avions de recherche américains y sont basés.





Wake Island se trouve au sud-ouest de la carte. 10 bombardiers japonais s'y trouvent, affectés à des missions de recherche.





Les attaques contre Midway imposent l'utilisation de types de bombes qui seraient sans effet sur les navires (et vice-versa).





Les bombardiers lourds volent à une altitude trop élevée (20.000 pieds) pour les chasseurs et la défense anti-aérienne japonaise. Ceci réduit d'ailleurs considérablement leur efficacité. Ils n'ont obtenu aucun résultat à Midway ...





Les chasseurs sont en général soit trop haut, soit en train de virevolter partout, soit partis à la rencontre de l'ennemi.





Les porte-avions japonais ne sont pas aussi bien équipés pour lutter contre les incendies que leurs homologues américains : ceux-ci sont prévenus d'une attaque par leur radar (alors que les japonais utilisent des jumelles), de plus les conduites d'essence sont purgées, puis remplies de gaz carbonique.





Les valeurs de combat ne reflètent pas la capacité des navires à encaisser les coups, mis à part s'ils ont deux niveaux de perte au lieu d'un. Dans la réalité, les cuirassés possèdent un blindage plus important que les autres navires. Historiquement, le Yamato a encaissé au moins 5 bombes de 1000 kg et une dizaines de torpilles avant de couler en 1945. S'il y avait eu des cuirassés américains, on aurait aussi appliqué cette règle pour eux, mais, au moment de Midway, ils sont pour la plupart au fond de la rade de Pearl Harbor ou en réparations, exception faite de 7 navires jugés trop lents pour être d'une quelconque utilité.





Les japonais attaquent également les installations de Midway.





Les pilotes basés à Midway ne sont pas formés à l'appontage, exception faite de ceux des Avenger, qui sont à cette occasion détachés du Hornet. Par ailleurs, les B17 ne peuvent pas se poser sur les porte-avions.





Le combat, de courte durée, se déroule juste au-dessus de la flotte ou de la base, les chasseurs en défense n'ont pas dépensé beaucoup d'essence et de munitions.





Pendant cette phase du conflit, les américains ont des équipements optiques et un entraînement au combat nocture inférieur à ceux des japonais.





Les transports sont nécessaires au ravitaillement des troupes.





Les japonais doivent débarquer alors que les troupes américaines sont retranchées.





Cette opération est prévue pour le 5 juin, veille de l'invasion de Midway.





La base est située à l'intérieur de l'atoll.





Au plus fort de la bataille, le 4 juin, les japonais ont utilisé une partie de ces avions en réserve.





Le Yamato, le plus gros cuirassé jamais construit, est le navire-amiral de la flotte japonaise.





Contrairement aux américains, les japonais ne recherchent quasiment jamais leur pilotes abattus ou naufragés. Or, les Etats-Unis peuvent former beaucoup plus de pilotes. Les pertes japonaises seront de plus en plus difficiles à remplacer.





Ce groupe couvrait à l'origine l'opération secondaire sur les Aléoutiennes.